Comment freiner la dérive des coûts de remise en location ?

Un locataire vous quitte, un autre arrive … Les équipes de proximité croisent les doigts en espérant que ce dernier paiera son loyer régulièrement, que ses voisins ne s’en plaindront pas, et sous ces conditions, qu’il restera de longues et heureuses années au sein de votre parc.

Le responsable d’agence et le directeur financier constatent malheureusement, quant à eux, une augmentation significative des coûts de remise en location …

Comment freiner la dérive des coûts de remise en location ?

Les facteurs actuels de dérive constatés sont notamment :

 des travaux de plus en plus chers,
 un DAPP et/ou un désamiantage onéreux,
 une remise à neuf des sols / murs / sanitaires dans un contexte de vacance,
  …

Se pose alors la question de l’ampleur des travaux à engager face au dilemme « coût de remise en location – coût de la vacance » … fondamentalement, un prospect choisit son logement d’abord par sa localisation et son prix, puis par son attractivité. Or si le hall d’entrée et l’ascenseur ont leur rôle à jouer, c’est avant tout la capacité à occuper immédiatement le logement de manière confortable qui va emporter la décision du demandeur.


 Quelles sont les difficultés que ce processus engendre ? 

Si les bailleurs peuvent conduire aisément des politiques patrimoniales sur les parties communes, le clos et le couvert, il en va tout autrement pour les parties privatives ! Deux solutions s’offrent à vous :

 L’intervention lors des remises en état de logement,
 Celles lors des réhabilitations.

Intervenir de manière efficiente lors des remises en état de logement suppose donc d’avoir une stratégie opérationnelle réfléchie, autour des notions de taux de rotation, de nature et de durabilité des équipements, de coûts de remplacement, de facilité et rapidité d’intervention, …


 Quelle approche proposons-nous ? 

Nous réfléchissons avec vos équipes, sur la base de données issues de vos systèmes d’information, aux thématiques suivantes :

 Comment se décomposent vos coûts actuels de remise en état des logements à la relocation ? Sur quels postes portent les augmentations des coûts ?
 Quelles sont les causes de ces augmentations ? Nous analysons tous vos logements ayant un montant de REL significatif (par exemple, supérieur à 3.000 €) pour en préciser les causes sur des cas concrets : vétusté initiale du logement ? dégradation par le locataire ? remise obligatoire aux normes (électricité, amiante) ?, …
 Comment définir de manière générale une politique de remise en état de logement qui serve de ‘guide philosophique’ aux équipes ? Comment décliner cette politique en fonction des qualités de votre patrimoine : localisation, attractivité, âge, équipements présents, …
 Comment sensibiliser et outiller les équipes de proximité pour les conduire à travailler dans une logique de retour sur investissement ? Seuls les travaux réglementaires et ceux nécessaires à la commercialisation sont en définitive réellement requis.
 Et enfin, comment comptabiliser certains de ces travaux en investissement pour en diminuer l’impact sur votre compte de résultat annuel.